samedi 23 novembre 2013

La maltraitance des enfants en RDC dûe à l'extrême pauvreté. LES EGLISES "SOIT DISANT CHRÉTIENNES" SONT AUSSI DES MEURTRIERS DE CES VULNÉRABLES - Child abuse cases in the DRC du to extreme poverty so called christian churches are also abusing!

http://www.youtube.com/watch?v=7sJmYwdUzFo


Vos dons serviront à diminuer le nombre d'enfants à exorciser- ces enfants qui sont accusés de sorciers. Si le sort de ces enfants démunis, pauvres, vous touchent, svp donnez généreusement  et nous ferons un suivi avec ceux qui le désirent sur la gestion et distribution des biens vivres et non vivres à notre orphelinat.
Que le Tout Puissant vous comble de grâces car qui donne à l'orphelin, prête à Dieu.
Shalom.

FORS-KONGO
613.710.1917

jeudi 7 novembre 2013

RDC : une ONG demande de l’aide pour les orphelins du Sida


Au cours d’une matinée de sensibilisation organisée à Kinshasa, ce vendredi 18 mai, à l’occasion de la célébration de la journée mondiale des orphelins du Sida, l’ONG la Voix des faibles a demandé au gouvernement et aux personnes de bonne volonté de venir en aide à ces enfants. Le ministère des Affaires sociales indique qu’en 2011, 160 000 orphelins du Sida ont été recensés sur toute l’étendue du pays.
Pour le président de la Voix des faibles, Justin Kitenge, la plupart des orphelins du Sida vivent dans des conditions difficiles. Ils connaissent des problèmes de scolarité, de logement et de santé.
Certains d’entre eux, accusés de sorcellerie, ont été chassés par leurs familles d’accueil et se sont retrouvés dans la rue.
 
 
Nous sommes là pour cette cause, la cause de l'orphelin du sida du Kongo. Nous sommes là pour recueillir des dons et faire le relai entre les donateurs et les bénéficiares.
Nous sommes là pour montrer au monde entire, particulièrement à la francophonie, qu'ils existent et qu'ils ont besoin de votre aide. Faites confiance à FORS-KONGO.
 
Que Dieu vous comble de ses graces et vous donne la paix en toute chose lorsque vous penserez à ces orphelins et que vous agirez en leur faveur.

mardi 5 novembre 2013

LES 10 SUJETS DONT LE MONDE DEVRAIT ENTENDRE PARLER DAVANTAGE

Cet article (daté d'il y a quelques années, mais la problématique ne semble pas s'être amélioré pour qu'il soit périmé) est d'une importance très grande dans la mesure où on devrait être alarmer et conscientiser par ce fléau au point de vouloir prendre des dispositions pour l'éradiquer. 
Comprenez-le : ce fléau vous touché, vous, citoyen du monde.


Les orphelins du sida en Afrique subsaharienne : une menace pour les générations futures

S’il est vrai que la tragédie de l’épidémie du VIH/sida suscite un regain d’intérêt de la part des médias, l’un des aspects les plus inquiétants, à savoir l’impact à long terme qu’aura sur les sociétés africaines la présence en Afrique subsaharienne de quelque 11 millions d’orphelins du sida, n’a pas souvent été traité.
La région compte aujourd’hui plus de 34 millions d’orphelins, dont quelque 11 millions du fait du sida. Huit enfants sur dix dans le monde ayant perdu leurs parents du fait du sida vivent en Afrique subsaharienne. Au cours de la dernière décennie, la proportion d’enfants orphelins du sida est passée de 3,5% à 32% et poursuivra sa croissance exponentielle tant que la maladie se propagera sans relâche. Ainsi donc, du fait de la maladie, toute une génération d’enfants sera constituée d’orphelins, ce qui compromet leur santé, leurs droits, leur bien-être voire leur survie même, sans compter le développement général de leurs pays respectifs.

L’épidémie de sida contribue à la paupérisation de nombreuses collectivités, étant donné qu’il revient aux familles élargies – femmes ou grand-parents aux maigres ressources – déjà mises à rude épreuve de s’occuper de la majorité des enfants orphelins. Ces ménages ont généralement un revenu inférieur de 31% à celui des autres ménages. Faute d’un véritable filet de sécurité, de nombreux orphelins, qui souffrent d’une santé précaire, de traumatismes et de troubles psychologiques, se retrouveront dans la rue et seront de ce fait plus vulnérables aux sévices et à l’exploitation.
La situation générale est devenue alarmante aussi parce que les femmes, jadis moins touchées, sont maintenant au centre de l’épidémie du VIH/sida en Afrique subsaharienne. En effet, les filles et les femmes, qui représentent 55% des personnes vivant avec le VIH/sida, sont touchées de manière disproportionnée. Qui plus est, les ménages ruraux souvent dirigés par des femmes se paupérisent davantage car des obstacles entravent l’accès des femmes à l’éducation et au traitement et elles ne peuvent trouver d’emploi rémunéré.
Les économies ravagées par l’épidémie de VIH/sida commencent à s’effondrer ; il faut donc d’urgence adopter des stratégies nationales pour renforcer les capacités de l’Etat, des collectivités et des familles et accroître la coopération internationale pour inverser cette catastrophe mondiale. « Nous nous attelons tous à trouver une riposte viable, et il existe bien sûr des projets et initiatives superbes dans tous les pays, mais nous ne semblons pas en mesure de les porter au diapason », dit Stephen Lewis, Envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU pour le VIH/sida en Afrique. « Pendant ce temps, des millions d’enfants sont traumatisés et mènent une vie instable, leurs parents mais aussi leur enfance et leur avenir leur ayant été arrachés. »
On passe souvent sous silence l’effet de ricochet que l’épidémie de VIH/sida ne manquera pas d’avoir, à l’avenir, sur la gouvernance, les structures sociales et la croissance des pays les plus touchés en Afrique subsaharienne. Les taux de mortalité exagérément élevés favoriseront l’épuisement de la main-d’œuvre, tant en zones rurales qu’en zones urbaines, avec de graves répercussions sur le fondement même des économies et de l’administration publique. Il va sans dire que l’Afrique subsaharienne n’est pas la seule région à faire face à ce défi – plusieurs pays d’Asie commencent à ressentir les premiers effets de la « génération perdue » des enfants devenus orphelins et vulnérables du fait du sida. Le nombre total d’orphelins du sida pourrait atteindre 25 millions d’ici à 2010 ; il faudrait donc que ce problème soit au centre des préoccupations de tous – gouvernements, grand public et médias – pour pouvoir juguler ce fléau.

      
Pour plus d’informations, contacter :
M. Nicholas Gouede, Fonctionnaire chargé des communications, Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD)
Tel : (1 212) 906-6801; Courrier électronique : nicholas.gouede@undp.org
Mme Liza Barrie, Conseillère hors classe en matière d'information, VIH/SIDA, Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF)
Tel : (1 212) 326-7593; Courrier électronique : lbarrie@unicef.org
M. Newton Kanhema, Fonctionnaire de l'information, Section du développement, Département de l'information (ONU)
Tel : (1 212) 963-5602; Courrier électronique : kanhema@un.org

Source: http://www.un.org/french/events/tenstories/story.asp?storyID=400