Le Cri de l’orphelin du Congo (COC) est une organisation non gouvernementale basée à Kinshasa. Cette structure s’occupe spécialement des enfants orphelins vulnérables (OEV) notamment dans le secteur de l’éducation depuis sa création en 2002.Jody Nkashama et Berry Lutshaka font le point des activités de cette structure avec Serge Mundo, son président.
Source: Radio Okapi-février 2013
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Joignez-vous à nous pour une levée de fonds qui aura lieu pendant tout le mois de décembre 2014, à Gatineau, dans l'objectif de collecter des fonds pour les orphelins du sida de la RDC. COC est NOTRE orphelinat (partenaire) gérée par prof. Mundo à Kinshasa.
FORS-KONGO se donne la mission de collectrer des fonds ici en Amérique du Nord, plus précisément au Québec pour aider les orphelins de COC à bien passer les fêtes de fin d'années.
Nous vous remercions de tout coeur pour votre contribution.
Fors Kongo.
forskongo@yahoo.ca
jeudi 4 décembre 2014
mercredi 6 août 2014
Shalom!
Voici un article important qui pourrait vous inciter à joindre à notre grande famille FORS-KONGO!
Oui, on a besoin de vous tous, hommes et femmes confondus, venez vous joindre à notre équipe.
Qu'est-ce qu’une équipe ?
Une équipe est un groupe de travail qui œuvre pour atteindre un objectif commun à travers une interaction et une synergie des compétences et des idées.
Le travail d'équipe motive les collaborateurs, il facilite l'épanouissement personnel et l'accomplissement de soi, mais à condition qu'il y ait une bonne supervision, une évaluation des travaux finis et un feed-back (communication des résultats).
Comment travailler en équipe ?
- La communication dans une équipe est un élément indispensable pour toute collaboration. La circulation de l’information est la base même du travail en équipe. Il faut savoir écouter avant tout, et tout faire pour se faire comprendre, c’est pour cela qu’il est tout aussi important de parler le même langage.
Les membres doivent partager leurs idées, pour être complémentaires, pour que rien ne soit laissé au hasard.
- Travailler en équipe, c'est se concentrer sur un objectif commun. Il est important que chacun s’investisse dans le projet et qu’il s’engage personnellement pour atteindre l’objectif.
- La répartition des tâches doit être claire et connue par tous, et ce, en étant en parfaite adéquation avec le profil des personnes concernées.
- La confiance, c’est une condition nécessaire à la circulation du savoir au sein de l’équipe. Sans confiance, on ne sait pas résoudre les problèmes difficiles, et l'on ne peut pas gérer les conflits. Et sans confiance, on ne sait pas innover. La confiance motive les personnes à partager ce qu’elles savent et à apprendre des autres.
- Avoir l’esprit d’équipe, c'est être solidaire, et aider son collaborateur lorsqu’il est face à un obstacle ou qu’il éprouve des difficultés à accomplir une tâche.
- Il faut savoir gérer les conflits en maintenant la cohésion du groupe, car être une équipe veut aussi dire s’accepter les uns les autres, et se maîtriser.
- Travailler dans un climat chaleureux et détendu : il s’agit de développer chez les membres de l’équipe une motivation forte, le plaisir et la volonté de travailler avec un groupe avec qui l'on se sent bien.
Soyez bénis vous qui êtes bénis dans le Seigneur Jésus-Christ!
dimanche 13 juillet 2014
« COMMENT EVITER ET SORTIR DES BLESSURES INTERIEURES » Ruth 1 : 1 – 21, Luc 4 : 14 – 18
Cette prédication est valable pour toute personne à commencer par nos chers orphelins de la RDC et tout internaute ayany eu une enfance difficile. Nous vous souhaitons bonne lecture et la protection et la délivrance du Très-Haut.
- Définition :
Les blessures intérieures sont des séquelles internes causées par un ou plusieurs événements ayant provoqués des chocs douloureux. (Ps 109 : 22-25, Ruth 1 : 1-21). Elles atteignent la profondeur de notre être et nous enlèvent la paix du cœur et même l’amour du prochain ou de soi-même jusqu’à rendre l’esprit de l’homme captif.
Elles consistent en toutes sortes des chocs que notre être intérieur subit dans le conscient et refoule dans le subconscient de la période prénatale à ce jour.
Exemples :
- La blessure intérieure d’Absalon causée par l’inceste d’Ammon son frère (2Sam 13) ;
- La révolte d’Absalon contre son père David a causé à ce dernier une blessure intérieure. (2 Samuel 15 à 2 Samuel 18) ;
- Naomi se nomma Mara suite aux blessures connues à Moab (Ruth 1, 1-22).
- Quelques causes
- A. Les chocs ou les déceptions d’ordre affectif
- Le rejet ou l’abandon d’un enfant par ses parents ou par l’un d’eux ;
- Le décès des parents ou de l’un d’eux ;
- Un enfant maltraité par la marâtre à sa mère, pensera toujours à sa mère et aura obligatoirement les blessures intérieures ;
- La perte d’un être cher, sur qui peut être était fondée tout espoir ;
- Une grossesse non-désirée par l’un des conjoints peut affecter l’enfant ;
- Un avortement forcé mais raté peut aussi affecter l’enfant ;
- Un enfant qui ignore ses parents c’est-à-dire dont on le lui a caché ;
- La stérilité dans un mariage stable (cas de Rachel, Sarah, Anne, etc) ;
- Le divorce des parents peut affecter les enfants ;
- Le refus de la paternité (=càd cas de grossesse refusée par son responsable);
- Le mauvais traitement infligé aux enfants par les parents ou autres membres de la famille ;
- La perversion sexuelle dans la famille (Ex. Inceste) ;
- Le viol ;
- La rupture sans cause des fiançailles ou d’une amitié ;
- La trahison d’un intime ou encore une ingratitude manifestée par un intime ;
- Les échecs sexuels dans le couple ;
- Le célibat prolongé.
- B. Les échecs scolaires, professionnels et sociaux
- Les échecs scolaires ou académiques dus au manque de soutien ;
- Les échecs causés par le mauvais comportement d’un parent ;
- Le manque d’un bon standing de vie (Matth. 6 : 25 – 34, Prov. 23 : 4 – 5) ;
- Les échecs professionnels à cause de l’ingratitude de métier ;
- Le mauvais salaire, le manque de promotion, le manque de gratitude et d’appréciation pour les services rendus,… ;
- Certaines appellations telles que sentinelle, domestique, boy, planton, etc. ;
- Rang des amis avec qui on a évolué ensemble (avancé plus que toi) ;
- Le chômage prolongé.
- C. La culpabilité personnelle (1 Thessaloniciens 5 : 23)
La culpabilité personnelle est l’effet d’être personnellement responsable ou co-responsable d’une faute commise causant ainsi du tort au prochain, d’une manière ou d’une autre (ex. Cas de Judas dans la trahison de Jésus-Christ). Quelques cas nous sont proposés, notamment :
- Eprouver un sentiment de malaise ou de regret devant son propre aspect physique ou celui de son conjoint considéré de laide par l’entourage ;
- Se sentir responsable d’un échec scolaire ou académique à cause d’un comportement non contrôlé ;
- Avoir du ressentiment après un acte posé d’une façon irréfléchie (ex. acte sexuel) ;
- Les remords après l’acceptation d’un mariage conclu par commission ou sous pression familiale, ou de soi-même pour un intérêt matériel (Absence d’un véritable amour) ;
- Une fille déflorée par un membre de sa famille, ou ayant des relations sexuelles non consentantes avec quelqu’un de sa famille et se trouvant dans l’impossibilité de l’accuser, se replie sur elle-même et subit le poids de la blessure intérieure ;
- Les péchés des parents peuvent lier les enfants et être la cause de blessures intérieures pour ceux-ci (Ex. 20 : 5-6 ; 34 : 6 – 7) ;
- Se sentir auteur ou co-auteur de la mort ou de la souffrance de quelqu’un, de la perdition de quelqu’un directement ou indirectement ;
- La stérilité comme conséquence de ses propres dérèglements sexuels. Exemple : Avortements antérieurs provoqués.
Cependant, il ressort que les blessures intérieures sont à la base de beaucoup de maladies dont souffrent aujourd’hui plusieurs personnes, communément appelées « maladies psychosomatiques ».
LES MALADIES PSYCHOSOMATIQUES
- Définition
Les maladies psychosomatiques sont des troubles organiques provoqués par des blessures intérieures se manifestant au niveau du corps, de l’âme et de l’esprit.
Ce sont également des effets logiques des chocs émotionnels (soucis). Elles sont incurables par des moyens thérapeutiques. Seul Dieu est capable de les traiter (Matt 6 : 25 – 34 ; Luc : 4 : 14 – 18 ; Prov. 23 : 4 – 5 ; 30 :7 – 9).
Plusieurs auteurs affirment que les soucis sont motivés par le diable pour nous détruire car ils font disparaître la paix intérieure chez l’homme. Celui-ci nous fait croire que point de solution pour nous, ce qui entraine d’autres dans des cas de suicide (cas de Judas). Alors que Dieu peut nous secourir et nous pardonner (cas de Pierre).
Cependant, des études menées justifient également que dans certains cas l’homme en est lui-même l’auteur, généralement au refus de se contenter de sa position et le désir de vite réussir afin d’être vu et apprécier par le monde (orgueil).
- Au niveau du corps
Quelques symptômes nous attestent les maladies psychosomatiques dans la vie d’une personne. Ceci peut se manifester à travers plusieurs maladies dont nous citons quelques-unes :
- le manque d’appétit, les vertiges, l’estomac, la gastrite, l’insomnie, l’amaigrissement, les fortes fièvres, les courbatures, le vieillissement précoce, l’hypertension, l’hypotension, l’amnésie, les palpitations cardiaques, les troubles respiratoires (asthme, bronchite), les troubles des règles chez la femme, la frigidité changeant ainsi la douceur de la femme en agressivité, la stérilité, l’avortement, l’accouchement prématuré, les hémorragies, la peur subite et terrible provoquant souvent la diminution des globules blancs, et qui est à la base des signes faisant croire aux symptômes du Sida.
- Au niveau de l’âme (3 Jean 2)
L’âme est le siège des sentiments, des émotions et de la volonté humaine, de l’intelligence, de la mémoire, de l’association d’idées et des phénomènes qui forment le psychique. Et quand l’âme est atteinte ou affectée, cela entraîne souvent l’affectation du corps. Elle est susceptible d’être affectée et entraîner des troubles au niveau des facultés mentales.
Exemples :
- L’amnésie (perte partielle ou totale de la mémoire entrainant l’oublie) ;
- La dépression nerveuse ;
- La débilite mentale, la folie, etc. ;
- La schizophrénie = maladie mentale caractérisée par une conduite paradoxale par rapport à la réalité basée sur les utopies (des rêveurs) ;
Parmi les victimes de ces maladies, on compte beaucoup d’enfants abandonnés à eux-mêmes par la société. Cas des orphelins, les marginalisés, les délinquants juvéniles, les faseurs, les kuluna etc.
Retenons que les blessures intérieures constituent généralement des portes d’entrée du diable dans la vie de l’homme et qui se comportera par la suite comme un maître dans sa maison. Et personne dans cet état de blessures intérieures ne peut vivre le progrès dans sa vie physique ou spirituelle.
- Au niveau de l’esprit
Quand l’esprit est atteint, ce dernier devient victime des sentiments et comportements négatifs :
- la colère, la haine, la peur, la rancune, la mélancolie, la vengeance, la timidité, la honte, l’hypocrisie, l’orgueil, la jalousie, l’animosité, l’incrédulité, l’insensibilité au pardon, le manque de pitié, la révolte, la non-tolérance, les agissements prohibés comme : le viol, le vol, le mensonge, la haine, le banditisme, etc.
- La dépression nerveuse qui peut pousser au meurtre et au suicide, le dérèglement du raisonnement.
- Très souvent quand l’esprit est affecté, on n’a pas non plus de succès dans tout ce que l’on peut entreprendre dans sa vie. On se sent en défaillance devant les épreuves de fois même sans les avoir affrontés (examen scolaire, académique, professionnel, accouchement,…). Par contre, un esprit bien entretenu donne la santé aux muscles et aux os, car Dieu prend soin de tout (Proverbes 3 : 5 – 6).
Plusieurs études ont démontré que beaucoup de maladies psychosomatiques avaient pour origine les blessures intérieures. Cependant, nous constaterons dans la vie pratique, que le pardon joue un rôle important dans la guérison tant des blessures intérieures que des maladies psychosomatiques, et cela, dans la vie de l’offensé comme de l’offenseur. Cela appelle de notre part d’avoir la culture de pardon.
AVOIR LA CULTURE DU PARDON – Jean 8 : 1-11, Matthieu 6 : 12
Le pardon est une exigence divine. Il est difficile qu’il n’arrive dans le parcours de l’homme des scandales. Le pardon engage toujours deux parties : l’offenseur et l’offensé. Cependant, il faut tout de même savoir pardonner et avoir la culture de savoir demander pardon (=humilité), car bien de gens ne demandent jamais pardon malgré le tort causé à son prochain ; ce qui bloque plusieurs processus dans l’épanouissement de leur vie tant physique que spirituel (Luc 17 : 1 – 4 ; Matt. 6 : 12 ; 16 : 19 ; 18 :23 – 35).
- Définitions
- Le pardon est une exigence divine (Mat 6, 12 ; 18 : 21-35) ;
- Le pardon affermit et transforme nos relations avec les hommes et Dieu (Rom 12, 18)
- Le pardon rend plus efficace notre prière (Marc 11 : 24-26, Héb. 12, 14) ;
- Dieu nous pardonne de la manière dont nous pardonnons les autres (Mat 6, 12)
- Le pardon est une puissance qui libère :
- Le pardon libère l’action du Saint Esprit ;
- Le pardon nous libère de tout fardeau de nos ennemis (Luc 6 : 35 – 36) ;
- Le pardon libère de la culpabilité et du ressentiment (1Jean 3 : 15) ;
- Le pardon nous donne la paix et la sérénité (Colossiens 3 : 12-13) ;
- Le pardon épargne notre génération de la condamnation (Exode 20 : 5-6).
- Comment pardonner ou bénéficier du pardon de son prochain
- Dieu exige de notre part l’humilité en demandant pardon dès que nous nous reconnaissons fautifs (Matthieu 18, 21 – 35) ;
- Savoir accorder le pardon dès que cela nous est demandée (Matt. 5 : 23-24 ; 18 : 21-35 ; Marc 11 : 25-26) ;
- Celui qui pardonne, doit oublier l’offense de son frère et le considérer comme s’il ne vous a jamais offensé. Cela nécessite donc un esprit d’amour et de vérité (Esaïe 43, 18 ; Col 3 : 13-14 ; 1Cor. 13 : 1-7) ;
- Celui qui pardonne ne considère vraiment pas sa raison (Rom. 12 : 19-21) ;
- Celui qui pardonne en oubliant ne rappelle pas sur le fait passé c’est-à-dire qu’il oublie totalement et définitivement (Esaie 43 : 25) ;
- Il est de fois nécessaire en pardonnant, de chercher aussi à déceler les causes qui ont concouru au scandale, parce qu’il se pourrait d’être offensé suite à son propre comportement incontrôlé (Matt. 7 : 3-5 ; 18 : 32-35) ;
- Est-il vraiment facile de pardonner ?
Pas du tout. Mais il faut solliciter l’aide de Dieu par la prière.
COMMENT EVITER ET SORTIR DES BLESSURES INTERIEURES
Seul Christ qui peut guérir les blessures intérieures (Luc 4 : 14 – 18). Et pour y parvenir, quelques éléments nous sont exigés.
- Comment éviter les blessures intérieures
a) Dieu doit être au centre de nos émotions, sentiments (Phil. 4 : 6 – 8) ;
b) S’accrocher à la parole de Dieu (Proverbes 4 : 20 – 23) ;
c) Ne jamais agir par procuration c’est-à-dire éviter d’être influencé (cfr Judas) ;
d) Etre responsable de ses actes, c’est-à-dire agir en toute conscience ;
e) Savoir se contenter de sa position nous évitera des pensées négatives qui ne peuvent rien changer dans notre vie. Donc, il faut plutôt travailler et réfléchir sur la réalité de notre devenir au lieu se faire des soucis ;
f) Avoir la culture du pardon pour vous épargner des blessures intérieures ;
g) Ne pas gérer la culpabilité, mais savoir demander pardon à son prochain ou à Dieu et croire à la miséricorde divine.
- Comment sortir des blessures intérieures
a) Identifier les causes de ces blessures ;
b) Reconnaître que seul Jésus-Christ qui peut nous redonner la paix du cœur ;
c) Présenter ces blessures avec sincérité à Jésus-Christ (2Chr. 7, 14);
d) Il faut oublier les choses anciennes. A la lumière de la bible, nous devons oublier les souvenirs des événements passés qui peuvent susciter en nous des soucis, des remords (Esaïe 43 : 18) ;
e) Demander pardon à Dieu (repentance, convection,…) ;
f) Chercher à vivre dans la sanctification par la grâce de Dieu ;
g) S’accrocher à la parole de Dieu comme modèle de vie (Prov. 4 : 20 – 23) ;
h) Savoir se contenter de sa position, car ni notre pensée ni notre raisonnement ne peuvent changer même un centimètre de notre vie. Donc, il faut plutôt travailler et réfléchir sur le comment sortir que de se faire des soucis.
Fait à Kinshasa, le 31 mars 2011
Pasteur Rhoddy SALEH MABELE
dimanche 22 juin 2014
Journée de l’enfant africain
(KINSHASA)- La ministre du genre, famille et enfants, Geneviève Inagosi a plaidé, à l’occasion de la célébration de la journée de l’enfant africain, pour le renforcement du barème des sanctions contre les auteurs des violences faites aux enfants.
Elle l’a dit en présence de députés, sénateurs, membres du gouvernement, diverses personnalités ainsi que des élèves de différentes écoles de quatre districts de Kinshasa réunis à l’école Don Bosco de Masina où se tenait la cérémonie officielle. ‘‘Soyez rassurés que le gouvernement a pris note et reste confiant qu’il faut l’application renforcée de la loi portant protection de l’enfant afin d’endiguer les abus justifiés par la tradition’’, a assuré Inagosi. L’exécutif va se lancer dans la lutte contre l’impunité des auteurs des violences faites aux enfants. Dans le mémorandum remis au gouvernement par les associations des enfants, il a été rappelé la nécessité de l’accès aux services de base dont les structures scolaires. La ministre du Genre a promis de se battre pour obtenir l’augmentation des moyens consacrés au secteur de l’enfant dans le budget.
A cette occasion, elle a interpellé tous les acteurs du secteur sur la situation des enfants afin de stimuler des initiatives pour combattre les fléaux qui affectent leur vie. Par ailleurs, les autorités congolaises, selon la ministre, ont réaffirmé leurs engagements devant la communauté africaine par la ratification des instruments juridiques dont la convention relative aux droits de l’enfant et la charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant. ‘‘Pour concrétiser ses engagements, notre pays se dote des instruments sur la protection de l’enfant et sur le système éducatif congolais. Le premier texte a été promulgué le 10 janvier 2009 tandis que le second, déjà voté au sénat, est en cours de promulgation’’, a-t-elle précisé. Le 16 juin de chaque année, le continent noir célèbre la journée de l’enfant africain en mémoire des enfants noirs sud-africains massacrés à Soweto le 19 juin 1976. Ils avaient été fusillés par la police du régime d’apartheid alors qu’ils revendiquaient pacifiquement leurs droits au bien-être, à la scolarisation et à la considération de leu dignité humaine, a déploré un activiste des droits de l’enfant. Le thème retenue pour cette année s’intitule ‘‘Une éducation de qualité, gratuite, obligatoire et adaptée à tous les enfants en Afrique’’.
See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/journee-de-lenfant-africain-les-auteurs-des-violences-faites-aux-enfants-mis-en-garde#sthash.S1IZT7k2.dpuf
jeudi 5 juin 2014
En vue de bien mener nos activités au sein de la population cible, les
orphelins du sida de la République démocratique du Congo, il nous fait plaisir
de vous faire part de nos deux programmes qui sont : Sac d’école et Ensemble à l’école.
Sac d’école :
Ce programme vise à recueillir des dons en nature (effets scolaires) afin
de permettre aux orphelins d’avoir des outils à portée de main pour mieux apprendre, comme pour
tout autre enfant. Inutile de démontrer qu'un enfant mieux outillé réussi mieux qu'un enfant moins bien outillé! Sans véritable outils d’apprentissage, il est donc impossible d’apprendre et encore moins réussir. L'utilité de ce programme auprès des enfants orphelins du sida est donc très grande.
Voici une liste complète des effets scolaires incluent dans nos kits scolaires:
1- Sacs d’école
2- Cinq cahiers Hilroy pour (cycle primaire) / Cinq cahiers
Notebook ou Five Star (cycle secondaire)
3- Crayons de couleur (à mine) / Marqueurs
4- Taille crayon
5- Crayons à mine
6- Ensemble de géométrie
7- Règle à mesurer (communément appelé latte)
8- Un dictionnaire Larousse/ Petit Robert
9- Une Bescherelle (cycles primaire et secondaire)
10- Une Grevisse (cycle secondaire)
11- Une gomme à effacer
12- Une calculatrice
13- Un étui crayon
14- Un journal de classe
15- Une carte géographique
Ensemble à l’école :
Ce programme vise à cueillir des dons afin de mieux faire face aux exigences
financières reliées à la scolarisation des enfants orphelins du sida. Que ce
soit les frais scolaires trimestrielles, ou que ce soit les frais reliés aux
visites médicales annuelles chez le médecin, ou même l’achat des médicaments,
nous sommes en mesure de bien faire face à ces défis. Nous faisons campagne plusieurs
fois par année et toutes nos recettes vont pour les besoins ci-hauts
mentionnés.
Les activités dans lesquelles nous récoltons des dons et espèces ou en nature
sont fait tout au long de l’année dans des kiosques ou dans des campagnes d’appels
de fonds autres que fait en kiosques. Certaines lettres de demande peuvent être
envoyées dans des entreprises pour des demandes.
Fors-Kongo 613.710.1917
jeudi 8 mai 2014
Situation des orphelins du sida en Afrique du Sud (RSA)
Alors que la propagation du sida en Afrique du Sud semble marquer le pas, le nombre d'orphelins du sida ne cesse d'augmenter et atteignait l'année dernière 1,5 million d'enfants en raison, selon des associations, du retard pris dans la lutte contre la pandémie.
"On estime que d'ici 2015 environ 5,7 millions d'enfants en Afrique du Sud (soit 32% d'entre eux) auront perdu un ou leurs deux parents à cause du sida", souligne Gail Eddy, chercheur à l'Institut des relations entre les races.
Ce chiffre représente exactement le nombre total de personnes infectées aujourd'hui au sein de la première économie du continent africain, pays comptant le plus grand nombre de séropositifs au monde.
La pandémie, qui a fait 14 millions d'orphelins en Afrique subsaharienne, touche directement les enfants et nombre d'entre eux assument des responsabilités d'adultes, les plus âgés prenant soin des plus jeunes après la mort des parents.
"Entre 2002 et 2007, le nombre d'orphelins ayant perdu leurs deux parents est passé de 352. 000 à 701. 000", développe le chercheur.
Le gouvernement et les organisations de lutte contre le sida mettent en cause la politique du président Thabo Mbeki (1999-2008) qui a longtemps refusé de mettre en place des programmes de lutte contre le sida.
Sa ministre de la Santé, Manto Tshabalala-Msimang, avait gagné en 2006 le sobriquet de "docteur Betterave" en prônant une alimentation riche en fruits et légumes plutôt que l'usage de médicaments antirétroviraux (ARV).
Selon une étude de l'université de Harvard, l'incapacité des autorités à fournir des traitements entre 2000 et 2005 a causé la mort de 365. 000 personnes.
"On a perdu du temps", regrette Gail Johnson, qui a fondé un foyer d'accueil pour mères séropositives et leurs enfants à Johannesburg, appelé Nkosi's Haven. Au lieu de chercher conseil auprès d'autres pays et demander de l'aide "nous n'avons rien fait", poursuit-il.
Son fils adoptif, déjà fragilisé par la maladie, avait ému le monde entier en 2000 quand il avait appelé le gouvernement à fournir des traitements aux malades, en particulier aux femmes enceintes. Nkosi était décédé l'année suivante à l'âge de 12 ans.
Neuf ans plus tard, le message a finalement été entendu et le pays dispose du plus important programme de distribution d'ARV gratuits. Malgré tout, au moins un million de personnes n'ont pas accès à ce traitement et la plupart des orphelins sont livrés à eux-mêmes.
L'année dernière, le gouvernement venait en aide à 20. 000 foyers composés exclusivement d'enfants et à environ 238. 000 orphelins du sida.
"L'Afrique du Sud va devoir faire face à une crise majeure dans l'avenir" en raison du nombre croissant d'orphelins, prédit l'Institut des relations entre les races.
Ces enfants ont besoin d'un fort soutien et le nombre de travailleurs sociaux doit être accru, souligne-t-il, d'autant plus que les adoptions se font de plus en plus rares dans ce pays de 48,5 millions d'habitants.
Le président Jacob Zuma, élu en mai, a prévu de dévoiler le 1er décembre, lors de la journée mondiale de lutte contre le sida, de nouvelles mesures pour lutter contre la pandémie. Il devait également subir un test de dépistage.
Selon William Mapham de l'unité de recherches sur le sida à l'université de Witwatersrand à Johannesburg, "il n'y a plus de déni. Zuma est arrivé et a changé certaines choses. Cela va avoir sans aucun doute un effet positif sur l'Afrique du Sud".
Source: http://www.jeuneafrique.com/actu/20091130T082736Z20091130T082720Z/
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : | Le nombre d'orphelins du sida en Afrique du Sud en augmentation constante | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
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vendredi 4 avril 2014
Le mois de la femme se boucle en RDC avec un vibrant appel à l’accès des jeunes filles à l’éducation
Kinshasa, 01/04/2014 / Société
Comme en avait recommandé le thème du 2ème Forum international des Femmes francophones qui venait d’être organisé à Kinshasa au début du mois de la femme, c’est sous l’appel à l’accès des jeunes filles à l’éducation que viennent de se clôturer à Kinshasa les manifestations de ce mois de mars spécialement dédié à la Femme
A Mbuji-Mayi, dans le Kasaï Oriental, les activités autour du mois de la femme ont notamment visé à encourager son entreprenariat. Contrairement aux années précédentes où le mois de la femme était l’occasion pour la gent féminine de s’illustrer par le port du pagne, dont l’impression était assurée par le gouvernement, mars 2014 a été marqué par des journées de réflexion, des conférences-débats et des plaidoyers pour la scolarité des jeunes filles en RDC.
Ces rencontres ont aussi abordé la lutte contre les violences faites aux femmes et aux jeunes filles, à travers la consolidation de la paix et de la justice en vue du développement de la RDC. Le 8 mars en particulier, à l’occasion de la journée internationale de la femme, des cérémonies officielles ont été organisées dans les grandes villes du pays, au cours desquelles un plaidoyer a été mené en faveur de la promotion et la protection des droits de la femme.
Les ministres du Genre et ceux de l’Education ont souhaité que soient accordées aux filles les mêmes chances d’étudier que celles offertes aux garçons. A Mbuji-Mayi (Kasaï Oriental), des expositions-ventes de produits agricoles, des conférences et débats autour de l’entreprenariat féminin ont été organisés durant ce mois. Une vente-exposition d’œuvres des femmes a eu lieu à la place de la poste, où elles ont été vendues à prix promotionnels.
La ministre provincial du Genre et de la Famille, Suzy Mboyo, s’est félicité de « l’éveil de conscience de la femme kasaïenne. Si on a choisi ce thème, c’est parce que nous voudrions que la femme soit autonome, que la femme ait un pouvoir économique fort. C’était une occasion pour nous de renforcer les capacités des mamans qui sont dans l’entreprenariat et inciter d’autres à emboîter [le pas] pour éviter la main tendue, éviter les pleurnicheries », a-t-elle expliqué.
Pour Georgette Ndaya, présidente de la Fédération des organisations paysannes du Kasaï Oriental (Fopakor), il ne s’agit pas particulièrement d’un réveil puisque c’est toute l’année que les femmes travaillent à faire respecter leurs droits. « Le mois de la femme est un cachet spécial parce que toutes, nous tournons autour d’un même thème. C’est ce qui fait qu’on constate que c’est un réveil. Ce n’est pas vraiment un réveil par ce que chaque jour, les femmes, nous organisons des activités dans nos organisations », a-t-elle souligné. Des cérémonies ont aussi été organisées dans plusieurs villes du pays, ce lundi 31 mars à l’occasion de la clôture du mois de la femme.
Le Potentiel
Source: http://www.digitalcongo.net/article/99050
vendredi 28 mars 2014
L'Afrique ne fait qu'augmenter les preuves qui démontrent sa faillite ou son incapacité à gérer sa société et ses crises. Sinon comment comprenez-vous cet article qui énumère l'énième viole d'une fillette de 6 ans? Lisez cette article attentivement et vous décèlerez ce que Fors-Kongo appelle l'état en faillite face à sa population. Shalom au peuple congolais, peuple bien aimé de Dieu et courage. Nzambe apambole. Albertine Koko-Mpaka pour FORS-KONGO.
Nadège, une petite fille de six ans, qui vit dans la rue, a été violée par quatre hommes, dont trois policiers. Cela s’est passé dans la cité verte, un quartier de Kinshasa, lundi dernier. Le drame est survenu après que ses proches, qui l’accusaient de sorcellerie suite au décès de sa mère, l’aient chassée du domicile familial.
Un énième viol à Kinshasa. L’agression sexuelle qu’elle a subie est particulièrement effroyable : âgée de six ans seulement, la petite Nadège a été violée par quatre hommes, dont trois policiers et un jeune homme de 16 ans. C’est d’ailleurs ce dernier que les policiers ont surpris en plein délit. Au lieu de l’interpeller, les forces de l’ordre ont abusé à tour de rôle de la petite fille.
Abandonnée à même le sol, c’est finalement une passante qui l’a secourue, permettant à une association qui vient en aide aux enfants des rues, de la transporter à l’hôpital. Une religieuse est venue la chercher ce mercredi après-midi pour l’emmener dans un orphelinat. A l’heure actuelle, la petite fille ne peut plus compter sur aucun membre de sa famille.
Accusée d’être une sorcière
Son calvaire commence après le décès de sa mère, qui date de quelques semaines. Nadège, qui vit alors avec sa grand-mère, est accusée d’être une sorcière par les autres membres de sa famille. Selon ces derniers, elle aurait « mangé sa mère » comme le font les sorcières, d’après certaines croyances. La petite fille qui est considérée dès lors comme un danger par tous ceux qui la côtoient est chassée du domicile familial. Égarée dans la capitale congolaise, Nadège ne sachant pas où aller, est contrainte de vivre dans la rue. Seulement, il ne fait pas bon de se promener seule la nuit, dans certains quartiers de Kinshasa, où l’insécurité règne.
La petite fille est loin d’être une victime isolée. Le viol est récurrent à Kinshasa, les enfants vivant dans la rue étant à la merci de personnes mal intentionnées. En République démocratique du Congo (RDC), les enfants des rues, qu’on surnomme « Shégé », sont au nombre de 60.000. Âgés de 0 à 17 ans, la majorité à été chassée par leur famille pour des raisons de sorcellerie. D’autres se retrouvent dans la rue suite au divorce de leurs parents qu’ils n’auraient pas supporté. Parfois, ils sont également rejetés par leurs proches parce que ces derniers n’ont pas les moyens de les prendre en charge.
« A cause de la sorcellerie, l’Africain ne fonctionne qu’à 10% de ses moyens »
Les croyances en la sorcellerie sont toujours très ancrées en Afrique. La peur du sorcier, de la sorcière, de l’enfant sorcier, du mauvais sort, hante encore de nombreux Africains. Ces croyances peuvent être très dangereuses, selon Didier Mavinga Lake, docteur congolais en psychopathologie et psychanalyste au sein d’un groupe de recherche en psychanalyse de l’Université Paris 7, lors d’une interview avec Afrik.com, en août 2012. « Des individus accusés de sorcellerie ont perdu la vie , rappelait-il. Il y a même des gens qu’on brûle. On leur met des pneus autour du corps, ensuite on les brûle parce que soi-disant ce sont des sorciers ! »
De même, « les enfants dits sorciers vivent un véritable calvaire ! On leur fait subir des sévices corporels de toutes sortes pour les exorciser, en mettant leur vie en danger ! Ces enfants sont pour la plupart abandonnés, car leurs parents estiment qu’ils sont la source des malheurs de la famille, expliquait-il. Ils se retrouvent le plus souvent dans la rue et livrés à eux-mêmes. La croyance en la sorcellerie fait donc beaucoup de dégâts sociaux en Afrique ! Il y a des familles qui ne se parlent plus, car on considère que de l’autre côté on a jeté des sorts. Il faut modifier une fois pour toute ce mode de pensée ».
Selon Didier Mavinga Lake « chaque être humain affronte la vie différemment. Lorsqu’on croit en la sorcellerie, on est dans une forme d’érotisation de la pensée. L’être humain imagine des choses car la réalité est trop dure à accepter. C’est pour cela que certains donnent de l’importance aux esprits, à leurs pouvoirs... ». Le psychanalyste estime que les croyances en sorcellerie « ne sont pas un problèmes social mais psychique. Bien évidemment, tous les Africains ne croient pas en la sorcellerie, mais cette croyance colore le quotidien ! La sorcellerie est un frein au développement de l’Afrique. A cause de cette peur, l’Africain ne fonctionne qu’à 10% de ses moyens ».
Source: http://www.afrik.com/rdc-accusee-de-sorcellerie-une-petite-fille-violee-par-des-policiers
Abandonnée à même le sol, c’est finalement une passante qui l’a secourue, permettant à une association qui vient en aide aux enfants des rues, de la transporter à l’hôpital. Une religieuse est venue la chercher ce mercredi après-midi pour l’emmener dans un orphelinat. A l’heure actuelle, la petite fille ne peut plus compter sur aucun membre de sa famille.
Accusée d’être une sorcière
Son calvaire commence après le décès de sa mère, qui date de quelques semaines. Nadège, qui vit alors avec sa grand-mère, est accusée d’être une sorcière par les autres membres de sa famille. Selon ces derniers, elle aurait « mangé sa mère » comme le font les sorcières, d’après certaines croyances. La petite fille qui est considérée dès lors comme un danger par tous ceux qui la côtoient est chassée du domicile familial. Égarée dans la capitale congolaise, Nadège ne sachant pas où aller, est contrainte de vivre dans la rue. Seulement, il ne fait pas bon de se promener seule la nuit, dans certains quartiers de Kinshasa, où l’insécurité règne.
La petite fille est loin d’être une victime isolée. Le viol est récurrent à Kinshasa, les enfants vivant dans la rue étant à la merci de personnes mal intentionnées. En République démocratique du Congo (RDC), les enfants des rues, qu’on surnomme « Shégé », sont au nombre de 60.000. Âgés de 0 à 17 ans, la majorité à été chassée par leur famille pour des raisons de sorcellerie. D’autres se retrouvent dans la rue suite au divorce de leurs parents qu’ils n’auraient pas supporté. Parfois, ils sont également rejetés par leurs proches parce que ces derniers n’ont pas les moyens de les prendre en charge.
« A cause de la sorcellerie, l’Africain ne fonctionne qu’à 10% de ses moyens »
Les croyances en la sorcellerie sont toujours très ancrées en Afrique. La peur du sorcier, de la sorcière, de l’enfant sorcier, du mauvais sort, hante encore de nombreux Africains. Ces croyances peuvent être très dangereuses, selon Didier Mavinga Lake, docteur congolais en psychopathologie et psychanalyste au sein d’un groupe de recherche en psychanalyse de l’Université Paris 7, lors d’une interview avec Afrik.com, en août 2012. « Des individus accusés de sorcellerie ont perdu la vie , rappelait-il. Il y a même des gens qu’on brûle. On leur met des pneus autour du corps, ensuite on les brûle parce que soi-disant ce sont des sorciers ! »
De même, « les enfants dits sorciers vivent un véritable calvaire ! On leur fait subir des sévices corporels de toutes sortes pour les exorciser, en mettant leur vie en danger ! Ces enfants sont pour la plupart abandonnés, car leurs parents estiment qu’ils sont la source des malheurs de la famille, expliquait-il. Ils se retrouvent le plus souvent dans la rue et livrés à eux-mêmes. La croyance en la sorcellerie fait donc beaucoup de dégâts sociaux en Afrique ! Il y a des familles qui ne se parlent plus, car on considère que de l’autre côté on a jeté des sorts. Il faut modifier une fois pour toute ce mode de pensée ».
Selon Didier Mavinga Lake « chaque être humain affronte la vie différemment. Lorsqu’on croit en la sorcellerie, on est dans une forme d’érotisation de la pensée. L’être humain imagine des choses car la réalité est trop dure à accepter. C’est pour cela que certains donnent de l’importance aux esprits, à leurs pouvoirs... ». Le psychanalyste estime que les croyances en sorcellerie « ne sont pas un problèmes social mais psychique. Bien évidemment, tous les Africains ne croient pas en la sorcellerie, mais cette croyance colore le quotidien ! La sorcellerie est un frein au développement de l’Afrique. A cause de cette peur, l’Africain ne fonctionne qu’à 10% de ses moyens ».
Source: http://www.afrik.com/rdc-accusee-de-sorcellerie-une-petite-fille-violee-par-des-policiers
mardi 25 mars 2014
JOURNÉE
MONDIALE DES ORPHELINS DU SIDA: 7 MAI
La Journée Mondiale des Orphelins du SIDA a été
créée en 2002 par Albina du Boisrouvray, Présidente Fondatrice de FXB,
pour attirer l’attention sur la détresse des millions d’orphelins du sida et
d’enfants affectés par la pandémie.
Chaque année, 3,6 millions d’enfants dans le monde
deviennent orphelins à cause du sida. Aujourd’hui, 13,2 millions de jeunes sont
orphelins du sida. Près de 80% d’entre eux vivent en Afrique.
Il est urgent que 10% des fonds alloués à la lutte
contre le sida soient consacrés aux orphelins et aux enfants vulnérables
affectés par la pandémie. L’impact du sida sur les enfants est un défi
humanitaire, économique, social et sécuritaire majeur à relever d’urgence par
notre société globale.
Chez FXB International, nous pensons que la réponse
à donner au nombre croissant d’enfants indigents se situe dans une action
globale à mener auprès des familles et des communautés. Pour cette raison, FXB
travaille à la réintégration des orphelins dans des ménages stables à la
reconstruction globale du tissu social des familles et communautés afin que le
travail des intervenants sociaux auprès de ces enfants et de tous les enfants
vulnérables enlisés dans la pauvreté
Depuis 1989, FXB a sorti près de 12’000 familles de
l’extrême pauvreté à travers ses programmes de développement communautaire
durable de type Village-FXB au Burundi, en Chine, en Colombie, en Inde, en RDC,
au Rwanda, en Thaïlande et en Ouganda. Actuellement, FXB mène 21 programmes
Villages-FXB au Burundi, en Chine, en Colombie, en Inde, en République
Démocratique du Congo, au Rwanda et en Ouganda.
«Seuls, nous
ne pouvons rien. Tous ensemble dans le même engagement, nous pouvons tout».
Albina du Boisrouvray
dimanche 12 janvier 2014
Chers internautes,
Nous vous souhaitons une bonne année 2014 remplis de joie, de bonheur et de prospérité.
Que cette année vous apporte: joie, amour et prospérité à vous et à vos proches.
Nul le besoin de vous démontrer l'importance d'entraide, de partage et de solidarité dans une communauté.
Notre prochaine activité du 7 mai 2014, 1er diner-bénéfice pour l'orphelin du sida de la RDC, aura pour objectif de collecter un minimum de 40,000$ pour la scolarisation de 100 orphelins du sida résidant dans la ville-province de Kinshasa.
Rien n'égale à ce sentiment de satisfaction lorsqu'on donne à un enfant démuni. Dans cette optique, nous aimerions que vous nous aidiez donc à relever ce défi. Seul, c'est presque impossible, mais avec votre aide, canadiens et canadiennes, congolais et congolaises de la diaspora canadienne, rien ne sera plus facile.
Nous vous remercions et nous vous réitérons nos meilleurs vœux pour l'année 2014.
Soyez bénis vous qui bénissez les autres!
Shalom.
Albertine Koko-Mpaka
Présidente et fondatrice
FORS-KONGO - FONDATION DES ORPHELINS DU SIDA DE LA RDC
Nous vous souhaitons une bonne année 2014 remplis de joie, de bonheur et de prospérité.
Que cette année vous apporte: joie, amour et prospérité à vous et à vos proches.
Nul le besoin de vous démontrer l'importance d'entraide, de partage et de solidarité dans une communauté.
Notre prochaine activité du 7 mai 2014, 1er diner-bénéfice pour l'orphelin du sida de la RDC, aura pour objectif de collecter un minimum de 40,000$ pour la scolarisation de 100 orphelins du sida résidant dans la ville-province de Kinshasa.
Rien n'égale à ce sentiment de satisfaction lorsqu'on donne à un enfant démuni. Dans cette optique, nous aimerions que vous nous aidiez donc à relever ce défi. Seul, c'est presque impossible, mais avec votre aide, canadiens et canadiennes, congolais et congolaises de la diaspora canadienne, rien ne sera plus facile.
Nous vous remercions et nous vous réitérons nos meilleurs vœux pour l'année 2014.
Soyez bénis vous qui bénissez les autres!
Shalom.
Albertine Koko-Mpaka
Présidente et fondatrice
FORS-KONGO - FONDATION DES ORPHELINS DU SIDA DE LA RDC
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